Or not fail… La redoute suite…

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Je ne suis pas « community manager » qu’ils appellent, les gens du oueb, et j’avoue que j’ai du mal avec Twitter, Facebook et consœurs… Ceci étant, j’ai trouvé deux analyses sur le Nouvel Obs (ici et ) qui ont le méritent d’essayer de prendre un peu de recul.

Qui sait, un cas, rigolo, sur les médias sociaux pourrait émerger ?

On a tous en tête (ou pas…) certains fails mémorables comme ceux de Nestlé (via leur marque KitKat et l’huile de palme qui implique une déforestation) ou encore de Volkswagen (via une parodie de leur pub montrant qu’ils sont moins engagés que d’autres dans des démarches « durables »)… Décidément Greenpeace semble mieux savoir s’y prendre que ces grands groupes. On peut se demander pourquoi d’ailleurs.

J’y reviendrai une prochaine fois.  A priori, histoire d’avoir un os à ronger, dans l’analyse les mots clefs de transparence, confiance, engagement, valeur, sont fondamentaux, ce que ne proposent pas, ou mal (surtout mal en fait), ou trop peu, ces grands groupes (aussi vrai pour les grands groupes politiques, particulièrement en ces périodes), contrairement à Greenpeace par exemple, ou encore, pour le privé d’Archiduchesse (Patrice Cassard fait parti des grands manitou maintenant).

Cependant, si l’on prend ces trucs avec un peu de recul ça me semble intéressant sur plusieurs points. Tout d’abord l’effet de moutonage n’a jamais aussi bien marché que grâce à Twitter (avec les RT) et Facebook, ce n’est pas un scoop, mais le moindre truc LOL fait mème. je suis sur qu’on peut faire une infographie neuneu là dessus voir une mise en équation… Genre « être connu ou ne correspondant pas à un idéal consumériste + fail = mème ».

Ceci étant dit ce n’est pas le point essentiel qu’il faut soulever ici. Finalement, la redoute, on n’en parle plus (le « A » correspondant à l’homme nu), y’a les élections et plein d’autres choses au moins aussi intéressantes.

Alors non, il ne faut pas faire d’une montagne un détail, ou le contraire plutôt. Il s’agit d’une erreur humaine, mais on en revient aux points fondamentaux évoqués un peu plus haut (transparence, confiance, engagement, valeur). Malgré cela, il faut se préparer dans la mesure du possible, et, tout simplement, faire amende honorable là où une faute a été commise, tout en assumant les responsabilités que l’on a.

Comme le conclu un des auteurs des articles du nouvel Obs, « cet épisode aura surtout été une fois encore l’occasion pour certains de se positionner en donneurs de leçons. Heureusement, nombreux sont aussi les membres de cette profession a avoir salué la réaction de La Redoute.

Une histoire peu surprenante, compréhensible et sans conséquences en somme. »

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