[…] tout de même qu’on transfère son bien à autrui par des conventions et des contrats, on peut aussi se dépouiller de sa liberté en faveur de quelqu’un. C’est là, ce me semble, un fort mauvais raisonnement ; car premièrement, le bien que j’aliène me devient une chose tout à fait étrangère, et dont l’abus m’est […]